Un peu de Vent dans l'Ombre...

Quelle jolie journée aujourd'hui, le soleil est déjà haut dans le ciel. Le camps et tranquille mais la pile de gibiers et bientôt vide. Je regarde Plume d'Hirondelle, qui me fait un signe de la tète j'ai compris nous somme de corvée de chasse.
Plume et moi n'avons pas besoin de parler nous nous comprenons mutuellement, c'est se que j'apprécie chez elle. Nous sommes très complice.
Telles deux ombres nous chassons tranquilles, deux merle et deux mulot pour moi. Je les entèrent et sens une drôle d'odeur pas loin, une odeur inconnu celle du clan du vent que fait elle ici ?
Plume viens de revenir des mulot pendant de sa gueule et un gros lapin derrière elle.
je la regarde et elle me regarde, nous nous posons les même questions. Quesque se chat du Vent viens faire sur nos terres, je me rapproche de lui et ma fourrure se gonfles mes griffes sortent, je suis a deux queue de renard d'elle pourtant sont odeur me répugne, je n'aime pas le clan du vent, son regard est triste emplis de douleur, que lui a ton fait. juste une phrase non deux: "qui est tu et quelle douleur emplisse ton âme".
 Plume est  désormais derrière  moi, je sens son désire de cracher sur cette inconnu et de la renvoyer chez elle un bon de griffe sur le museau mais je lui intime de rester calme.
"S'il te plait, Plume"

Le vent souffle, les feuilles des arbres se balancent en cadence dans le ciel. Une belle journée, comme on les aime. Beau temps pour chasser, pourtant, lorsque je propose du regard à Fleur d'Étoile de sortir dans la forêt, elle n'a pas l'air tellement enjouée que ça. Je ne peux pas réprimer un ronronnement amusé, avant de l'entraîner vers le territoire. Le camp derrière nous, elle part alors presque aussitôt sur la piste d'un merle en me laissant seule. Je trouve que c'est une bonne idée, car je viens de sentir un gros lièvre qui se promène imprudemment dans les sous-bois. Mauvaise idée. Car un coup de patte dans le ventre a raison de lui en un rien de temps. Je n'ai pas trop le temps de l'enterrer, car je sens plusieurs mulots juste à coté. Sans un bruit, je me baisse et m'approche doucement. Deux de la bande n'ont pas le temps de s'échapper avant que je leur bondisse dessus. Deux d'un coup ! Vite, je les ramène près du lapin et les enterre enfin. Je cherche encore un peu sans rien trouver qu'un autre mulot, ratant toujours les moineaux qui croisent ma route furtive. Je déterre enfin mes proies pour rejoindre mon amie. Beaucoup de temps est déjà passé. Je la trouve enfin, aussi chargée que moi avec les proies. Soudain, elle regarde vers un point précis, tellement qu'elle me fait lever la tête et lâcher mes proies. Aussitôt, j'aperçois un guerrier du Vent -je le sais par l'odeur- qui se promène comme si de rien n'était, sur notre territoire. D'un regard, Fleur d'Étoile me supplie d'être clémente avec elle. En fait, elle et moi, communiquons souvent juste par les yeux, sans rien dire. Et cela depuis la pouponnière, car nous sommes nées presque en même temps et nous avons donc beaucoup joué ensemble, installant entre nous une énorme complicité. J'ignore ses avertissements en allant d'un pas furieux vers l'intrus. Je ne cours pas, mais pourtant j'arrive très vite devant elle. Je feule.
-Que fais-tu ici, ennemi de l'Ombre ?!
Elle a de la chance, je ne lui pas sauté dessus. Pas encore.

Apres aoir terminer sa longue tirade et s'etre entirer, elle toisa froidement Plume. LE geste a ne pas faire en ma presence, il est vrais que je suis calme et tout mais lorsque l'on touche a ma famille ou mes amis j'entre dans une fureur telle que l'on ne peu m'arreter.
Je sortie de mes gong lorsque j'entendit le ton qu'elle avait pris. De quel droit, en etant en teritoire enemie de parler comme sa ?! pour qui c'etait elle prise ?!
Je m'approchat d'elle, le regard aussi froid qu'un glaciers, le pelage luisant comme la neige s'ebouriffant et gonflant peu a peu, montrant ma colere.
Je me plaça pres d'elle, tres pres, nos fourrur se touchaient et nos souffles se melangeais. Dans mes yeux qui se braquerent dans les siens passa une lueur sadique presque malseine. Je lui parla calmenent, tres clamnet, d'un ton a en geler plus d'un sur place.
"Jeune guerriere du vent, de quel droit ose tu penetrer notre territoire et t'adresser de cette facon a un membre de mon clan? Si l'envie me viens je pourrais te tuer d'un coups de cros car ici je suis chez moi. Alors si tu veut rester en vie un peu plus d'un quart de seconde tu devrais changer de ton et te remettre a ta place"
La colere m'avait pousser a me mettre dans un etat que peu de chat vivant pouvait conter, je crois que plume d'hirondelle ne m'avait j'avait vu comme sa. Je la defiait du regard, de mon reagrd de glace. Mon oeil gauche me brula comme quand j'etait avec Sang Pourpre au Zoo. L'envie de me battre monta en moi, qu'aller t'il se passer maintenant ?

Aïe ! Ça se présentait mal pour la pauvre guerrière du Vent. Lorsqu'on m'embête, Fleur d'Étoile est souvent là pour m'aider. Depuis toujours elle conserve ce geste protecteur sur moi. C'est très utile, surtout quand j'ai des problèmes mais à certains moments de ma vie je m'en suis sentie mal, car je ne pouvais plus faire mes preuves. Pourquoi est-ce elle, et pas moi qui protège l'autre ? Car elle a toujours été plus grande et plus forte. C'est comme une grande soeur, quoi. Enfin, l'ennemi avait cessé de me toiser avec mépris et était désormais devant mon amie. Je décidai de mettre mon grain de sel, après tout, moi aussi j'ai le droit. 
-Elle a raison, chat du Vent ! Tu n'as rien à faire sur nos terres, et encore moins le droit de nous parler sur ce ton-là. Tu n'as aucun pouvoir et comme elle l'a dit, on t'achèvera en un coup de patte. Alors arrête de te croire le centre du monde ! Tout ne tourne pas autour de toi, calme-toi ! Nous sommes très clémentes avec toi, profite-en ! 
Je me calmai soudainement, en invitant du regard Fleur d'Étoile d'en faire pareil. Tranquillement, après avoir repris ma respiration, je continuai :
-Au fait, tu es notre ennemi, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué. Et je n'ai pas besoin de te connaitre trop pour le savoir.

Je m'était ressus un coup de griffe sur le museau, des gouttes de sang tombait. Je me mit a sourire, puis a rire oui a rire doucement puis le plus en plus fort, un rire sadique et sauvage sortait de ma gorge. Mon oeil me brula tellement que je me plia en deux, je lecha rapidement les gouttes de sang de mon museau et regarda Plume. Mes yeux et mon caractère avait changer, je devenait mechante et sadique. "Plume...desoler mais je vais la chercher"
Dans la secinde suivante je n'était plus la je deoassa la frontiere en courrant et saisie mon ennemie a la peau du coup, elle se debattait, les coup de griffe dechirais mon pelage mais rien n'y fesait, je la ramenna de lautre citer de la frontiere et la plaqua au sol. "et maintenant, que va tu faire ?" une lueur mesquine brulait au fond de mes yeux mes yeux devenu vairon d'ailleurs

Je soupirai. Fleur d'Étoile changeait. Beaucoup même. Enfin, je comprenais sa rage, je la partageait même. Cette inconnue avait oublié qui était le Clan de l'Ombre, alors nous allons lui faire retrouver la mémoire. Ce n'est pas parce que nous n'organisons pas encore la guerre que nous sommes forcément devenus gentils. Elle n'avait qu'à bien se tenir, il est trop tard pour elle maintenant. Silencieusement, je me postais du coté de la frontière, cachée par les herbes, pour l'attraper si elle essayait de s'enfuir. Mon coté sombre, rusé et calculateur reprenait le dessus sur mon coté stoïque. Tranquillement, j'attendais la suite. Ma première pensée fut "Rira bien qui rira le dernier !" Je me plaiquai au sol, prête à bondir et déchirer la chair d'un ennemi. J'aimais le combat, oui. Je l'assumais, au moins.

Ma truffe, en sang. Des larmes mes montes des larme de rage. Tu temps quelle courrais je me suis mis de l'autre coter de plume quelle chance que nous soyons si silencieux n'es pas?. Elle monta dans un arbre. Quel délicieuse coïncidence, les oiseux et les écureuil son mes proie favorite! Je monta a l'arbre comme si je chassait un écureuil tout a coup elle bougea je regarda plume qui c'était mis a porter de vu. Juste le temps que griffe d'argent tourne la tête je me jeta sur elle et lui laboura le dos de coup de griffes.
nous nous débâtions comme des forcenées quand la branche craqua, puis recraqua encore et finit pas cédée et nous tombâmes sur le sol dure. J'eu juste le temps de me mettre au dessus de griffe d'argent pour amortir le choc. De la pitié pour un ennemi qui me cherche? Jamais!
Je senti le lourd choc du sol sur mes pattes puis je sauta gracieusement et me rassit a coter de plume tranquillement.

Sans même que nous nous soyons regarder, nous avions un plan. Les chats de l'Ombre sont les plus malicieux, l'ennemie l'avait donc oubliée ? Lorsque je vis Griffe d'Argent s'échapper et grimper à l'arbre -ce qui était déjà très surprenant pour un chat du Vent-, je ne fis qu'un léger pas pour me mettre bien dans l'angle du vue de celle qui nous avait cherché, pour que Fleur d'Étoile puisse agir à sa guise. Mais, sous leurs pas, la branche craquait, craquait et encore craquait, jusqu'à ce qu'elle tombe. Mon amie se releva rapidement, plaqua au sol l'autre guerrière et se plaça ensuite à coté de moi, qui n'avait toujours pas bougé. Avec un mépris évident, je feulai ces mots :
-Désormais, tu sais ce qu'il en coûte d'embêter des chats de l'Ombre ! Nous recommencerons volontiers, si tu insistes ! Maintenant, pars, et ne reviens plus jamais !
Apercevant quand même la truffe blessée de Fleur d'Étoile, je me précipitais vers l'adversaire et lui griffai le museau. Puis je revenais à ma place, ne savant pas si mon coup avait fait mouche.